C’est l’occasion de détailler avec vous les différents inconvénients du procès que je décris dans mon livre « L’ART DE LA PAIX, rompre une relation ça s’apprend ! ».
Vous pouvez le commander par mail en m’envoyant un message sur le site de Human’s Place qui édite le livre à compte d’auteur. Il n’est plus dans le commerce pour le moment.
Ta parole ne compte pas : tu dois reconstituer toute ton histoire avec les écrits de ton entourage : attestations de voisins, amis famille et là tout le monde a peur de se trouver pris à partie dans un problème qui ne le regarde pas.
Ce sont aussi les factures contrats relevés de compte que tu as jetés au moment de déménager que la banque ne retrouve plus ….
Le pouvoir discrétionnaire d’appréciation du juge : entre ce que tu fais écrire par tes proches et ce que le juge comprend de ton histoire : il y a un monde…
Le juge est un être humain comme toi. Il a sa propre sensibilité et il va analyser ton histoire sous l’angle de ses propres valeurs et ses propres représentations … Toute une partie qu’il gardera pour lui et que tu ne maitrises pas. Cela s’appelle l’aléa judiciaire.
Je te parle d’un angle mort dans lequel le dossier plonge et qui sera impacté par l’analyse subjective d’une personne qui t’es étrangère.
Oui, je vais vous parler de la place surprenante de la victime dans le procès pénal et les limites des pouvoirs du juge.
Le jour où les justiciables commenceront à s’emparer de cette culture, ils feront d’importantes économies et ils protègeront leurs proches.
À l’association AMAK, nous facturons que 100 € de l’heure par partie pour un entretien préalable et deux réunions plénières.
Pour conclure sur AMAK, nous sommes joignables sur :
8 rue Alexandre Isaac
97110 Pointe-à-Pitre
Tél. : 06 86 87 66 08
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