En cas de violences conjugales, beaucoup de femmes craignent de quitter le père de leur enfant au risque de le déséquilibrer : c’est un leurre qui conduit à supporter l’inadmissible sous leurs yeux…tout en cultivant un climat de dépendance affective et économique qui épuise et fait le jeu de l’agresseur.
Il n’y a pas de violences physiques ni morales en tant qu’infraction pénale sans ITT certifiée par un médecin. Or, cette définition n’est pas normée au sein du corps médical et se présenter au commissariat le visage tuméfié sans ce document ne sert à rien.
Il ne faut pas confondre relation toxique et profil pervers. En effet, toute personne qui n’est pas initiée au triangle dramatique de Karpman peut intuitivement adopter une posture victimaire qui va injecter beaucoup de violence dans le système familial et impacter gravement les enfants qui seront investis d’un rôle de sauveur par effet naturel et mécanique.
Tout le problème du secret qui entoure l’intimité d’un foyer consiste en la difficulté de réunir les preuves de ce qui s’y passe… La manière dont certaines femmes arrivent à se convaincre de l’incompétence des pères, peut les conduire à projeter sur l’enfant des angoisses de danger artificielles auxquelles ces enfants finissent par adhérer au point de ne plus vouloir le voir du tout…
Ce syndrome a d’abord été reconnu comme une maladie par l’organisation mondiale de la santé, qui a fini par faire marche arrière sous la pression des associations féministes.
Quoiqu’il en soit, les juges sont de plus en plus attentifs à l’attitude abusive de mères qui vont s’employer à détruire l’image symbolique du père. C’est en soi suspect et cela peut entrainer la mise en place d’une assistance éducative auprès du juge des enfants. Les éducateurs vont alors tenter d’expliquer à chacun des parents, l’importance de la place de l’autre dans la vie de l’enfant.
Le poison dans ces dossiers reste toujours la fiction probatoire qui rend très difficile l’accès à la réalité au risque de voir un scénario judiciaire s’écrire très loin de la vérité. C’est pourquoi il peut être vital pour la famille, de saisir un Centre de médiation neutre comme AMAK avant de se battre devant un Juge.
Je procède à une analyse systémique à la fois du discours de la personne et des pièces de son dossier. Cette analyse consiste à compiler trois techniques de développement personnel dans une lecture unique à savoir :
À l’association AMAK, nous facturons que 100 € de l’heure par partie pour un entretien préalable et deux réunions plénières.
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