Dans ma carrière de médiateur que j’exerce depuis près de 15 ans, c’est la matière familiale qui m’a parue la mieux à même de mettre les adultes et les enfants en sécurité
cela permet de construire avec les parents une stratégie pour permettre de protéger les enfants des conflits de loyautés entre les positions trop radicales de chacun
oui, à force de vouloir protéger les enfants de l’autre et de vouloir le contrôle sur leur vie pour échapper à l’autre, les parents infligent une violence émotionnelle extrême à leurs enfants
Dans mon expérience de plus de 10 ans de médiations essentiellement familiales, la question de la pension alimentaire devient secondaire lorsque l’on a su respecter la place des deux parents dans la vie de l’enfant : aussi bien le père, que la mère
Le médiateur pourra aider chacun des parents à se détacher du premier élan de vouloir faire disparaitre l’autre définitivement de sa vie, pour considérer les besoins de son enfants de voir ses deux parents communiquer en harmonie l’un avec l’autre, même séparés.
On ne peut pas généraliser mais c’est l’idéal, même pour des jeunes enfants de sentir l’apaisement de chacun des parents et la confiance lors des changements de lieu de vie. Ils ont le droit de se sentir pleinement avec papa et pleinement avec maman sans que l’on vienne systématiquement leur rappeler qu’il en manque un en exigeant un appel téléphonique !
Par contre, c’est compliqué lorsqu’il n’y a pas de confiance entre les parents et c’est celui qui fera le plus de difficultés qui aura la résidence principale pour ramener le calme dans l’environnement de l’enfant. En cela le procès est injuste.
Vous pouvez le commander par mail en m’envoyant un message sur le site de Human’s Place qui édite le livre à compte d’auteur. Il n’est plus dans le commerce pour le moment du fait de la fermeture de la librairie antillaise.
Ta parole ne compte pas : tu dois reconstituer toute ton histoire avec les écrits de ton entourage : attestations de voisins, amis famille et là tout le monde a peur de se trouver pris à partie dans un problème qui ne le regarde pas.
Ce sont aussi les factures contrats relevés de compte que tu as jetés au moment de déménager que la banque ne retrouve plus ….
Le pouvoir discrétionnaire d’appréciation du juge : entre ce que tu fais écrire par tes proches et ce que le juge comprend de ton histoire : il y a un monde…
Le juge est un être humain comme toi. Il a sa propre sensibilité et il va analyser ton histoire sous l’angle de ses propres valeurs et ses propres représentations … Toute une partie qu’il gardera pour lui et que tu ne maitrises pas. Cela s’appelle l’aléa judiciaire.
Je te parle d’un angle mort dans lequel le dossier plonge et qui sera impacté par l’analyse subjective d’une personne qui t’es étrangère.
Oui c’est exact tout comme le procureur est libre de poursuivre une personne sans tenir compte du retrait de plainte de la victime.
Ce n’est pas un peu naïf de croire que les gens vont être capables d’avoir un minimum de considération pour leur ancien partenaire qu’ils voient comme leur pire ennemi ?
Je suis certaine que nombre de personnes seraient déterminées à échapper au procès si elles connaissant vraiment les règles du jeu et ce, même si elles étaient convaincues qu’elles auraient raison devant le juge !
Le jour où les justiciables commenceront à s’emparer de cette culture, ils feront d’importantes économies et ils protègeront leurs proches.
À l’association AMAK, nous facturons que 100 € de l’heure par partie pour un entretien préalable et deux réunions plénières.
Pour conclure sur AMAK, nous sommes joignables sur :
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